PRÉSENTATION EN FRANCE DU PREMIER SPECTACLE MUSICAL MONGOL POUR ENFANTS « LE CHERCHEUR DU BONHEUR »

Dans le cadre de la mise en œuvre du programme « Éducation de la culture nomade », soutenu par la Présidence de la Mongolie, le concours national « Le Chercheur du Bonheur » a été organisé en plusieurs étapes.

Les lauréats de ce concours, réunis au sein d’une troupe d’élèves talentueux, ont présenté le 3 juillet dernier, à Villejuif, près de Paris, le spectacle musical pour enfants « Le Chercheur du Bonheur ». Cette représentation s’inscrivait dans les festivités marquant le 60ᵉ anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la Mongolie et la République française et a permis de faire découvrir au public français la richesse de la culture et du patrimoine mongols.

Le spectacle a été organisé avec succès grâce au partenariat de l’ONG « World Dream School », du musicien et artiste émérite de Mongolie M. BAAST Bazarragchaa, de partenaires français et avec le soutien de l’Ambassade de Mongolie en France.

La mise en scène a rassemblé de jeunes interprètes venus d’Oulan-Bator, de Darkhan-Uul, de Bayankhongor et de Zavkhan, qui ont conquis le public par leur talent et leur énergie.

En marge de cette représentation, une exposition des meilleures œuvres de la 16ᵉ Olympiade nationale de dessin pour enfants HUGO and COLOR a été présentée, sous l’égide de l’Association des enseignants des écoles secondaires de Mongolie. Mlle S. Narangerel, élève de l’école n°1 d’Oulan-Bator et plusieurs fois lauréate de ce concours, a exposé ses créations artistiques qui ont suscité un vif intérêt auprès des spectateurs français.

Par ailleurs, M. ERDENEKHUYAG Ariunbold, calligraphe et Envoi culturel de Mongolie, a présenté une exposition de calligraphie mongole. Il a expliqué les caractéristiques uniques de l’écriture traditionnelle, notamment ses tracés et ornements, contribuant ainsi à la diffusion et à la valorisation de l’héritage culturel mongol. À cette occasion, il a également animé un atelier d’initiation destiné à des élèves français, leur offrant une première découverte des spécificités de l’écriture mongole.